Clameurs

Les affres de la nuit

Ont réveillé les souvenirs

Qui s’empressent de sortir

D’une mémoire endormie.

L’amas de tristesse

Git en fond de cale

Abandonné par les agitations

D’une vie ordinaire.

Tout semble apaisé

Quand une tempête subite

Harnache le fil des pensées

Au mât de la survie.

Les images traumatiques

Se bousculent

Révélant l’anéantissement

D’une vie de bonheur apparent.

La nouvelle demeure s’érige

Dans les bas-fonds de la solitude

Compagne fidèle

De la poésie de l’insolite.

Écrire pour oublier

Écrire pour sublimer

Écrire pour réveiller

Écrire pour continuer à aimer.

@Hannacelya, le 18 septembre 2019

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