Turpitudes

L’air quelque peu sibyllin
Une silhouette évanescente
Disparaît dans la brume
Des souvenirs.
Les rêves font place aux larmes
En déchirant le voile de douleur
Ornant le cœur brisé
De l’exilé.
Le temps passe
Mais c’est souvent comme hier
Avec ce goût d’amertume
Qui tapisse le palais…
Une intuition d’éternité.
Les illusions s’enflamment
Laissant pantelant
Le corps meurtri
Par un marathon imposé.
La nostalgie souffle
Sur les braises de l’amour
Ravivant ainsi les cendres
D’un passé éteint.
De ce chaos surgit
Un chant du cœur
Le chant de l’espérance.

@Hannacelya
6 mai 2019

Votre commentaire

Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Image Twitter

Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s